Chapitre 1: Les saveurs de la campagne deuxième partie.

Immarcessible

Chapitre 1: Les saveures de la campagne

Lundi 25 juillet 1999

15h45

Campagne

Céine à cinq ans

La campagne était chaude, brûlante même. Chaque souffle de vent était incendiaire , non pas que c'était la canicule mais ça n'en était pas loin. Je marchais entre les herbes rases et les buissons d'épines meurtriers. Le soleil cuisant de l'après-midi me tappait sur les épaules leurs promettant peut-être un énième coup de soleil. Il fallait dire que je navais prévu qu'une petite promenade mais les choses c'étaient annoncées plus compliquées que cela. La maison n'était plus qu'a un peu moin d'un kilomètre il ne me fallait juste encore un petit effort...                                       Un arbre se matérialisa devant moi. Je ne pris même pas la peine de ke détailler ou de ompter ses branches ployantes, je me ruais en dessous en faisant courir mes petites jambes.                                                                                          Quand j'entris dans l'ombre, un rideau apaisant de fraîcheur s'effondra sr moi tendit que je m'efforçais de reprendre haleine. Serrant mon livre d'image contre ma poitrine, je m'affalais à la cime de l'arbre. Ma maman avait déjà commencé à m'apprendre le nom des végétaux mais je ne les retenaient pas tous. Elle avait bien insisté sur le "menthe" mais je connaissait déjà parce qu'il y avait des bonbons qui en avait le parfum. Le vent tiède fit bruisser les feuilles vertes de l'arbre en me ramenant à la réalité. Ma mère disait toujours qu'il fallait se concentrer sur l'instant présent sans regarder le passé derrière soi. Je n'avais pas bien compris : parfois elle s'exprimait avec du vocabulaire trop enrichit et je prenais un air étonner avec les yeux écarquillés et une moue pour lui signfier mon incompréhension. Elle riait et je riais aussi parce que voir les gens rirent était contagieux. Alors elle m'ébourrifait les cheveux et je lui suriais encore plus. Ma mère avait des cheveux noirs et lisses qui lui tombaient jusqu'a la taille et de grands yeux verts avec des jolis cils recourbés. Elle avait un nez un peu rond au bout ui lui donnait un air adorable etun sourire éternel. Elle souriait tout le temps, tout le temps, tout le temps. Toujours sportive, elle s'activait dans l maison à longueur de journée et elle me disait que quand on avait lavé la vaiselle, on pouvait toujours passer l'aspirateur. Si je lui répondais qu'elle avait déjà passer l'aspirateur hier elle me rétorquait qu'elle pouvait tondre le jardin et la moitié de la cmpane si elle voulait. Mais la, je n'avais plus rien à dire, et devant mon air déconfit, elle riait. Et je riais également.

Elle s'appelait Helen ma maman, Helen Wesey. Ses cheveux inlassablement relevés en queu de cheval (hautes et basses en variantes). Elle passait au peigne fin toute la maison pour trouver la moindre négligeance, rien ne passait à la trappe